carenphyra
À Lille, on forme les développeurs qui créent des expériences mobiles fluides et performantes. Pas de théorie creuse. Juste des compétences concrètes qui comptent vraiment en 2025.
Nos programmes démarrent en septembre 2025, avec des places limitées à 18 participants. Parce qu'apprendre à optimiser des jeux mobiles, ça demande de l'attention individuelle et du temps.
On travaille en petits groupes. Vous allez côtoyer d'autres développeurs, échanger sur des problèmes réels, et construire un réseau solide avant même de terminer le programme.
Vous allez bosser sur des projets réels en équipe. Comme dans un vrai studio, avec des deadlines, des choix techniques à faire ensemble, et des résultats mesurables.
Vos pairs vont analyser votre code. Vous allez faire pareil pour eux. C'est parfois direct, mais toujours utile. Et ça vous prépare aux code reviews en entreprise.
Les gens que vous rencontrez ici vont devenir des collègues, des collaborateurs, parfois des associés. On a vu des boîtes se créer entre anciens du programme.
En juin 2024, trois de nos participants se sont retrouvés bloqués sur un problème de rendu 3D. Ils ont passé une soirée entière ensemble, testé douze solutions différentes, et finalement trouvé une approche que même nous on n'avait pas envisagée.
Ce genre de moment arrive souvent. Quelqu'un voit un truc que vous avez raté. Vous aidez quelqu'un d'autre la semaine suivante. Ça crée une dynamique qu'on ne retrouve pas dans les formations en ligne classiques.
Voici l'histoire de Bastien. Pas un conte de fées, juste un exemple concret de ce qui peut arriver quand on s'investit sérieusement dans le programme.
Développeur jeux mobiles chez Indie Studio Paris
Avant de commencer en septembre 2024, je galérais avec les performances sur Android. Mes jeux tournaient bien sur iPhone, mais dès qu'on passait sur un Samsung de milieu de gamme, ça ramait.
Le déclic est venu au bout du troisième mois. On avait un exercice sur l'optimisation mémoire. J'ai enfin compris pourquoi mes textures bouffaient toute la RAM. Pas juste la théorie, mais vraiment comment Unity gère ça sous le capot.
Les deux derniers mois, j'ai refait mon projet personnel de A à Z en appliquant ce qu'on avait appris. Le framerate est passé de 22 FPS à 58 FPS sur les mêmes appareils. C'est ce portfolio refait qui m'a décroché mon poste actuel en février 2025.
Aujourd'hui, je passe encore du temps avec d'autres du groupe. On se file des tuyaux, on teste les projets des uns et des autres. Ce réseau vaut autant que les compétences techniques qu'on a acquises.
On ne fait pas de survol superficiel. Chaque sujet est traité en profondeur, avec des cas pratiques tirés de vrais projets. Voici quelques domaines qu'on explore pendant les six mois du programme.
Les shaders, c'est bien. Mais savoir lesquels utiliser selon le GPU de l'appareil, c'est mieux. On décortique comment réduire les draw calls sans sacrifier la qualité visuelle.
Un crash causé par un memory leak, ça fait mal. On apprend à profiler, identifier les fuites, et architecturer le code pour éviter les problèmes avant qu'ils arrivent.
Les jeux multijoueurs mobiles, c'est un défi à part. Comment gérer des connexions instables, réduire la consommation de données, et garder une expérience fluide.
Les inscriptions pour la session de septembre 2025 ouvrent en avril. Si vous voulez discuter du programme ou vérifier que ça correspond à votre situation, passez nous voir ou envoyez-nous un message.
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